2020

En 2020, le monde a subi une catastrophe sanitaire sans précédent. Le monde a basculé à ce moment-là. Les lois d’exception votées au moment de l’épidémie n’ont jamais été levées. Le confinement, décrété au départ pour 15 jours durait maintenant depuis un siècle !

On construisit des murs autour des centres villes, seuls secteurs où l’épidémie pouvait être contrôlée et le confinement réellement respecté.  Petit à petit, les habitants des centres ville oublièrent ceux restés de l’autre côté du mur, condamnés à disparaitre. L’humanité fit comme toujours lorsqu’elle ne veut pas voir un problème, elle ferma les yeux. La réalité virtuelle se développa de manière exponentielle. Les consignes étaient toujours d’éviter le maximum le contact avec d’autres humains. Une pratique courante de séparation totale des corps avait déjà cours dans certains milieux aisés. Une loi rendit la pratique obligatoire. Une série de lois fut votée à la fin du siècle. En 2100, le contact et la rencontre entre 2 corps humains fut officiellement déclarés interdits.

Confinés!

Les relations intimes hors réalité virtuelle furent prohibées. Les progrès de la Réalité Virtuelle apportaient des possibilités de découverte quasi infinies mais toutes virtuelles… Les couples ne purent faire qu’un seul enfant et, uniquement de manière artificielle, in vitro. Les nouveaux nés étaient placés en couveuse. Le personnel soignant s’en occupait à travers des combinaisons de protection. Une fois l’enfant sevré, vers 3 ans, il était placé dans un box qui évoluait au fur et à mesure qu’il grandissait. Le Gouvernement Central subvenait à tous ses besoins jusqu’à l’âge de 13 ans. L’enfant recevait ensuite l’Allocation Universelle jusqu’à ses 21 ans. Cela devait lui apprendre à gérer un budget. A ses 21 ans, s’il voulait continuer à vivre dans son box, il devait en assurer les frais en travaillant pour la communauté.

Les relations intimes hors réalité virtuelle furent prohibées. Les progrès de la Réalité Virtuelle apportaient des possibilités de découverte quasi infinies mais toutes virtuelles… Les couples ne purent faire qu’un seul enfant et, uniquement de manière artificielle, in vitro. Les nouveaux nés étaient placés en couveuse. Le personnel soignant s’en occupait à travers des combinaisons de protection. Une fois l’enfant sevré, vers 3 ans, il était placé dans un box qui évoluait au fur et à mesure qu’il grandissait. Le Gouvernement Central subvenait à tous ses besoins jusqu’à l’âge de 13 ans. L’enfant recevait ensuite l’Allocation Universelle jusqu’à ses 21 ans. Cela devait lui apprendre à gérer un budget. A ses 21 ans, s’il voulait continuer à vivre dans son box, il devait en assurer les frais en travaillant pour la communauté.

Confinés!

Oubliés!

De l’autre coté du mur, se massaient des millions de personnes dans le dénuement le plus total. Cette société parallèle, dirigée par des mafias qui se livraient une guerre sans merci, regroupait l’essentiel de la population humaine et les usines et ouvriers produisant la majorité des biens et produits des zones sûres. Les centre villes étaient occupés par les habitants favorisés qui vivaient une vie aseptisée, sans contact avec les uns ni les autres. Ces zones étaient interdites d’accès et en confinement total d’avec le reste de la planète. On les appelait des zones sures. Des zones sans virus, sans risque de contamination. Seules certains privilégiés pouvaient y habiter. Une élite habitait d’autres zones, les zones vertes. Inaccessibles même aux habitants des zones sûres. Les habitants des zones sûres ont été maintenus dans l’ignorance de l’existence de ces bidonvilles. On les a persuadé que tout était robotisé, qu’ils étaient les derniers humains épargnés par le virus.

Un mouvement dissident, des deux côtés, menait pourtant une guerre de l’ombre pour réclamer plus de justice sociale et une meilleure répartition des richesses.

Commandez le maintenant!

Decouvrez sans attendre cette épopée humaine qui va bien au delà d’un simple mur!

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